Hêtre à ététer
Hêtre à ététer
Lieu n°7
L’arbre mort est un élément important de l’écosystème forestier. Qu’il soit encore sur pied ou bien au sol, il procure le gîte et le couvert à une multitude d’espèces. De nombreux insectes y pondent leurs œufs, dont les larves se nourrissent du bois mort. Plusieurs espèces d’oiseaux, comme les pics, y creusent également leur loge. Enfin, les champignons sont nombreux à se développer sur le bois mort, et en sont les principaux décomposeurs. Il est nécessaire de sécuriser les abords de chemins c’est pourquoi certains arbres sont abattus ou étêtés. Mais ailleurs ils sont dès que possible conservés pour leur haute valeur écologique (marquage peinture de couleur chamois).
Il s’agit ici d’un Hêtre. Sensible à la sécheresse du sol et de l'atmosphère, ainsi qu'aux vagues de chaleur, le hêtre est considéré comme l'une des essences les plus exposées au changement climatique.
Nouveau Cloiso
Nouveau Cloiso
Lieu n°11
Les sols forestiers sont sensibles à deux phénomènes : l’érosion et le tassement. Lors d’un chantier, ces phénomènes peuvent être accentués par un passage d’engins non adaptés à la pente et au climat. C’est pour cela que les forestiers créent des chemins spécifiques à l’exploitation : les cloisonnements. Calibrés pour les engins forestiers ces chemins facilitent l’évacuation des bois exploités en limitant le passage des machines sur des zones dédiées. Parfois ils peuvent aussi profiter aux promeneurs comme c’est le cas ici.
Cloiso Andain
Cloiso Andain
Lieu n°12
Les sols forestiers sont sensibles à deux phénomènes : l’érosion et le tassement. Lors d’un chantier, ces phénomènes peuvent être accentués par un passage d’engins non adaptés à la pente et au climat. C’est pour cela que les forestiers créent des chemins spécifiques à l’exploitation : les cloisonnements. Calibrés pour les engins forestiers ces chemins facilitent l’évacuation des bois exploités en limitant le passage des machines sur des zones dédiées. Parfois ils peuvent aussi profiter aux promeneurs comme c’est le cas ici.
Pin bio
Pin bio
Lieu n°13
Dès que c’est possible les forestiers optent pour une manière naturelle de régénérer les parcelles. Pour cela, ils pratiquent des coupes progressives consistant d'abord en une coupe dite « d'ensemencement », destinée à favoriser l'éclairement du terrain tout en laissant sur place des individus sains et adultes porteurs de semences de qualité, puis une coupe définitive en une ou plusieurs fois, après une installation satisfaisante des semis. On parle de régénération naturelle. Dans le cas où il n’est pas possible d’agir de la sorte on pratique une régénération artificielle c’est-à-dire à base de plants élevés en pépinières. Cela peut alors être l’occasion de choisir une nouvelle essence plus adaptée au futur climat.
Le pin présent ici est une trace de la régénération naturelle de la parcelle.